La rénovation et l’extension de la Maison de l’Île à Auvers-sur-Oise vise à rétablir son rôle d’équipement public associatif et culturel, lieu privilégié d’une vie collective intergénérationnelle. Le projet profite de la situation particulière du site – lisière habitée entre la ville et la rivière – pour réaménager une relation avec l’espace urbain et le paysage.
La nouvelle Maison de la Solidarité à Auvers-sur-Oise est une architecture sobre, frugale et évolutive. Elle s’intègre dans son site à partir de ses caractéristiques naturelles, l’écoulement des eaux, la présence de la nappe, la proximité de la rivière. Elle contribue à la requalification d’un quartier aménagé par adjonctions successives.
La réhabilitation du dojo et la création d’un club house pour le Village de Villeneuve-le-Comte s’inscrivent dans une réflexion urbaine et paysagère sur l’ensemble du parc sportif au sud-ouest du village. Ces équipements sont un lieu emblématique de la vie associative du village. Leur transformation mérite une attention architecturale qui va au-delà de l’urgence énergétique.
A Auvers-sur-Oise, une séquence de six petits espaces publics le long de la montée vers l’église de Notre-Dame-de-l’Assomption et le plateau du Vexin sont réaménagés avec des matériaux durables et naturels. Ils se transforment en autant de « pièces urbaines ».
Le projet porte sur la réhabilitation d’une ancienne maison de maître en maison de collectionneuse ainsi que sur la construction d’un atelier d’artiste. Il vient réaffirmer la tradition culturelle locale de la Ville d’Auvers-sur-Oise qui a attiré plusieurs générations d’artistes internationaux et profite aujourd’hui d’un patrimoine culturel, paysager et architectural unique.
Le projet porte sur la revitalisation d’une ancienne cour d’activités chargée d’histoire et participe à l’ambition de redynamiser le centre-bourg de Viarmes. Il renoue avec les activités historiques du site, en accompagnant la transformation des modes de vie en cours dans le village.
Les habitants membres de l’association locale Intra-muros organisent des chantiers participatifs à côté des travaux effectués par des d’entreprises locales.
La création d’une nouvelle entrée pour l’Église Saint-Laurent de Paris prolonge les transformations historiques du site et vise à adapter le monument au contexte et aux usages en transformation. S’inscrivant avec sobriété dans les proportions de l’édifice et dans la tradition du mobilier liturgique, la nouvelle paroi accompagne le regard et invite à rentrer, rendant l’église plus ouverte et inclusive.
Les projets simples et durables de trois petites « placettes » réaménagées à Auvers-sur-Oise structurent une promenade dans la ville, offrant aux riverains et aux visiteurs des moments de pause dans des espaces publics apaisés, frais et protégés.
Situé dans la cour d’un immeuble haussmannien du quartier de Montparnasse, cet appartement de 22 m² en rez-de-chaussée a servi comme stockage d’œuvres d’art avant d’être abandonné pendant plusieurs dizaines d’années. Le projet vise à sublimer les matériaux existants en libérant au maximum les pièces pour amener de l’air et de la lumière dans ces petits espaces.
La rénovation complète d’une maison de campagne des années 1970, entreprise pour améliorer ses performances énergétiques, offre l’opportunité de l’adapter aux nouveaux besoins de ses habitants et de la reconnecter à la nature environnante.
L’association « Les êtres humains professionnels » nait en 2017 avec l’objectif de créer des spectacles, des films, des expositions / installations, des livres, des projets d’action culturelle, de développer une réflexion sur le monde engendrée à plusieurs. Avec le projet « La Redoute » l’association propose aux habitants de ce quartier à Fontenay-sous-Bois d’être bâtisseurs de soi, du monde, de rêveries, à travers la construction et l’installation de cabanes éphémères dans l’espace public.
Située au sommet d’un bâtiment d’habitations de la banlieue de Milan, cette grande terrasse offre une vue imprenable vers la ville. Elle n’était pourtant quasiment pas utilisée par les propriétaires car peu intime, peu fonctionnelle et trop exposée. Le projet propose un réaménagement de cet espace, à partir d’une structure métallique polyvalente, support végétalisé d’activités de plein air pour les habitants.
A Zagreb en Croatie en raison de plusieurs inondations, de hautes digues ont été construites le long de la rivière Sava pour protéger la ville. Cette opération a totalement changé la relation de la ville avec la rivière, un espace central déserté par les habitants. Dans le cadre du concours international Europan 13 « La ville adaptable » nous avons proposé un processus de réactivation de quatre sites naturels situés le long de la rivière.
La finesse de la parcelle sur rue a guidé notre recherche architecturale afin d’exacerber la figure de l’immeuble en mitoyenneté.
Cette mitoyenneté, que nous qualifierons d’heureuse, est tissée au moyen de relations très attentives aux immeubles voisins.
Le programme de coworking se développe en cœur d’ilot. Notre réponse est ici également liée à l’existant : la conservation de l’ensemble remarquable est magnifiée par la démolition des éléments qui le sont moins, et l’amplification du volume présent. L’ensemble crée une image architecturale généreuse qui vient proposer une nouvelle respiration dans le paysage urbain de la rue Pelleport.
Nous avons imaginé une architecture qui abrite le savoir-faire des artisans et qui en incarne la philosophie et les valeurs de la marque.
Ces immeubles en front de Seine du Village des Athlètes créent des conditions d’habiter à la pointe de l’écologie, de l’accessibilité et de la qualité domestique.
Le projet est une amplification du parc. Le sol naturel voit émerger des immeubles autonomes, il accueille une forêt urbaine qui crée les conditions du rafraîchissement. Une place majeure donnée à la nature : 38% de pleine terre accueillant des micro-forêts, territoires de reconquête de la biodiversité en continuité du parc public et de la trame verte du quartier. Une canopée protectrice favorisant l’évapotranspiration et la circulation des vents, rempart naturel contre le réchauffement climatique.
Nous avons imaginé un projet à partir d’un mode de vie en lien étroit avec la nature.
Le site appartenait historiquement au domaine du parc du château de Versailles. Le dessin de l’ensemble a été guidé par quatre notions fondamentales inspirées par la structure du parc : un paysage de perspectives, des pièces de verdure, une promenade, une rationalité ornementale.
Le Village Reille est le résultat d’une histoire passionnante de relations entre architecture et patrimoine végétal, entre construction et bien-être dans un cadre paysager intime et émouvant. Nous avons imaginé notre projet comme une poursuite de cette histoire, comme une nouvelle trace qui s’invite dans cet univers idyllique.
Le projet de démolition d’un garage existant et de construction d’une nouvelle résidence intergénérationnelle de 22 appartements bénéficie d’une situation urbaine privilégiée et hétéroclite dans le centre-ville d’Arcueil. Le site est bordé sur ses quatre façades par des espaces publics et il se situe à proximité immédiate de la maison seigneuriale dite «Maison des Gardes» et de son jardin carré.
Le quartier Fraternité se renouvelle en profondeur tout en gardant les caractéristiques originales de son tissu de faubourg: petit parcellaire en lanière étirée, marqué par l’histoire ancienne des murs à pêches.